25 novembre 2012
Cancers dans l'armée italienne: la piste des vaccins
La Commission d’Enquête parlementaire sur l’uranium appauvri semble avoir trouvé une nouvelle cause à plusieurs cas de cancers détectés chez des soldats italiens.
Les études réalisées montrent la responsabilité des vaccinations multiples et répétées, telles que pratiquées hors protocole au sein de l’armée ; celles-ci affaiblissent le système immunitaire, rendant ainsi les organismes plus sensibles en cas d’exposition à différents produits chimiques (uranium appauvri, dioxines, produits chimiques des décharges et des industries...) et augmentant alors le risque de développer des maladies graves, comme le cancer.
Les doutes sur le fait que l’uranium n’est pas la seule cause possible de cancers au sein de l’armée résident dans le fait que 85 % des militaires touchés n’étaient jamais partis en mission à l’étranger (mais ils avaient néanmoins tous été vaccinés...)
En effet, même si les soldats étaient restés en Italie, leur exposition aux produits chimiques les rendait d’autant plus à risque de développer un cancer si leur système immunitaire avait été attaqué/malmené, comme c’est le cas après plusieurs vaccinations inoculées en un court laps de temps.
Déjà en 2007, le Ministre de la Défense Arturo Parisi déclarait au Comité : "Les militaires qui ont développé des cancers et qui semblent être partis à l’étranger entre 1996 et 2006 sont au nombre de 255 personnes tandis que ceux qui sont tombés malades sans avoir pris part à des missions internationales sont au nombre de 1427." Ces chiffres ont doublé en 2012 : 698 patients parmi ceux qui sont partis en mission à l’étranger contre 3063 qui sont restés en Italie, pour un total de 479 décès (données épidémiologiques de la Défense).
Source : Italiasalute.it (9/10/12)
Infos complémentaires intéressantes parues quelques jours plus tôt dans la Republica :
Des experts internationaux établissent un lien entre les cancers dans l’armée et les vaccinations.
[...] David était en bonne santé lorsqu’il a été vacciné le 19 juin 2006 dans le cadre de son service militaire, à Vérone. La veille, il avait encore gagné un marathon local, mais après sa dernière injection, il est tombé à terre et a perdu connaissance. Aujourd’hui, il doit vivre avec un handicap de 90 % dû à une neuropathie, une maladie neurologique auto-immune, dans laquelle la charge en métaux toxiques des vaccins pourrait avoir joué un rôle et gravement altéré son système immunitaire. David a été accusé puis acquitté du crime de désertion (!). Sa famille a entamé une bataille difficile afin de faire reconnaître le préjudice subi par leur fils suite aux vaccinations injectées dans le cadre de son service militaire. En dépit des analyses de laboratoire et des cartes de vaccination pleines d’irrégularités, la mère de David, qui a rencontré plusieurs autres familles dans des situations similaires, explique : "Nous sommes face à un mur infranchissable, on a l’impression de crier dans le désert."
[...] Pour le Professeur de médecine Antonio Giordano, du Sbarro Institute de Philadelphie, dont le journal italien La Republica nous assure que son impartialité ne fait aucun doute : "Il existe un lien reconnu et étroit entre les vaccinations et l’affaiblissement du système immunitaire."
Les journalistes de la Republica demandent alors au Pr Giordano ce qu’il répondrait à un soldat qui viendrait lui demander son avis sur le fait de devoir réaliser une douzaine de vaccinations endéans le mois ? Le Professeur Giordano répond : "Je lui expliquerais qu’il pourrait tout aussi bien se suicider." Et le Professeur Giordano de proposer aux Instituts Sbarro du Cancer et de biologie moléculaire de Philadelphie de réaliser gratuitement des études scientifiques destinées à faire éclater la vérité. Une proposition qui semble avoir même retenu l’attention des autorités italiennes compétentes.
La Commission d’Enquête sur l’uranium appauvri enquête donc à présent sur les vaccinations, un sujet jusqu’ici passé sous silence, en dépit des avertissements croissants de plusieurs médecins et de nombreuses familles ces dernières années. "Ils ont essayé de taire tout ça jusqu’ici, en raison des intérêts financiers en jeu et surtout parce que ces résultats dérangeants obtenus chez les militaires peuvent tout aussi bien être transposés aux civils" explique le médecin et fonctionnaire de police Dr Massimo Montinari, "mais maintenant il semble que, même au sein du monde politique, un changement soit en marche."
Fin 2011, des indemnités ont été accordées à 110 militaires sur 350, touchés par des maladies incriminant des substances toxiques. Les indemnités pouvaient s’élever à 200 000 euros. Mais maintenant, à la lueur de cette nouvelle piste et de l’implication des vaccins, les 240 dossiers qui avaient été rejetés pourraient tous être réexaminés.
Une étude commandée en 2004 à différentes universités italiennes (Gênes, Rome, Pise) a montré qu’au-delà de 5 vaccinations, on compromet automatiquement le système immunitaire. Dans le rapport final du projet Signum (projet d’investigation diligenté par la Commission d’Enquête), sorti le 17 janvier 2011, il est clairement indiqué que les sujets hypervaccinés, exposés à des substances toxiques comme l’uranium appauvri, les dioxines ou d’autres pollutions environnementales, peuvent plus facilement développer des maladies graves.
En outre, on a ignoré jusqu’ici des études internationales aboutissant aux mêmes résultats et menées par des chercheurs réputés et indépendants, comme le Pr Giulio Tarro, médaillé d’or du Président de la République et mondialement connu en matière de maladies infectieuses ou encore Franco Noble, du Centre d’excellence contre le Cancer, de Sienne, et qui a aussi menée des études sur les forces armées.
[...] Pour ce qui est des dommages vaccinaux présumés au sein de l’armée, les plaintes sont principalement de deux ordres.
celles concernant la violation des protocoles vaccinaux par les médecins militaires (qui pouvaient ignorer les risques encourus et qui voulaient vacciner un maximum). Ces plaintes impliquent le Ministère de la Défense.
celles concernant le contenu même des vaccins, puisque de nombreuses études scientifiques montrent que les maladies auto-immunes et les cancers peuvent impliquer les métaux toxiques des vaccins, dont le mercure. Dans ce cas-là, c’est le Ministère de la Santé qui est en cause, ainsi que l’industrie pharmaceutique.
Ces métaux toxiques ont été retrouvés en grande quantité dans le corps de David. Pour le Pr Tarro, les vaccins militaires ne sont pas tout à fait les mêmes que ceux destinés aux civils, les vaccins militaires contenant davantage de mercure en raison d’une présentation en flacon multidoses. Il estime qu’à l’armée, ces doses de métaux toxiques sont "des doses de cheval".
Pour Tarro, un des mécanismes en cause est l’amas considérable de métaux lourds des vaccins reçus en un court laps de temps, métaux qui se lient alors aux triglycérides du corps et peuvent dans ce cas devenir un facteur de maladie cardiaque.
Source : Republica.it (extraits)
NB : Merci au lecteur vigilant nous ayant signalé cette information très importante !