ISBN-2-905761-07-5
Dr en médecine Ryke Geerd Hamer
Avant-propos
Les textes qui suivent sont extraites du livre parus en allemand au début de l'année 1984 et en français en 1993 voir la couverture du livre ci-dessus. Pour en faciliter la lecture, nous proposons en guise de fil d’Ariane un résumé très schématique de la découverte du docteur Hamer, qui porte essentiellement sur la genèse du cancer. Il y a neuf ans, résumant cette découverte dans une communication à l’université de Tubingen, il écrivait : « J’avais cherché le cancer dans la cellule et je l’ai trouvé dans une erreur de codage au cerveau ». Constatant que le cancer (leucémies comprises) se conforme toujours à certaines règles, il a formulé la Loi d’airain du cancer, qui s’énonce ainsi :
- Tout cancer est déclenché par un choc psychique brutal, un conflit aigu et dramatique vécu dans l’isolement, qui ne permet pas de s’en ouvrir à d’autres et qui continue d’obséder le patient jour et nuit d’une manière durable. C’est le syndrome Dirk-Hamer (DHS).
- La teneur subjective du conflit, c’est-à-dire la manière dont le patient le ressent au moment du DHS, sa coloration, le jour sous lequel il se présente à lui au moment où il reçoit ce coup de massue, détermine à la fois.
- La localisation du cancer (poumon, sein, foie, os...)
- La localisation de l’aire cérébrale qui sous l’empire du choc subit une rupture de champ (foyer de Hamer).
- Il y a corrélation exacte entre l’évolution du conflit, celle du cancer dans l’organe et celle du foyer de Hamer dans le cerveau, la triade psychisme, cerveau, organe étant constamment synchronisée.
Une fois que le conflit est résolu, le foyer de Hamer se régénère par formation d’un oedème périfocal, tandis que les cellules, dont la prolifération anarchique était due à une erreur de codage du cerveau-ordinateur, cessent d’être innervées par des codes erronés et le cancer est stoppé.
Une très large place est réservée à la thérapeutique : c’est elle qui intéresse le plus le malade atteint du cancer. Elle consiste essentiellement à aider le malade à résoudre son conflit, qui est à l’origine de ce « court-circuit » au cerveau. Le diagnostic exact joue un rôle capital à cet égard. D’où l’importance qu’il y a pour le malade et le médecin de bien connaître le système pour être mieux à même de déceler la pierre qui l’a fait achopper.
A suivre : Qu’est-ce que le cancer ? Aperçu historique