Le cancer est un
champignon
du Dr Simoncini oncologue
Prologue:
Parmi les nombreux livres qui essaient de donner une réponse au problème du cancer, celui écrit par l’oncologue Tullio Simoncini se distingue par sa simplicité et sa théorie innovatrice. Le livre “Le Cancer est un champignon” décrit la manière dont une infection fongique forme toujours la base de chaque formation néoplasique, qui essaie ensuite de se propager dans tout l’organisme sans s’arrêter.
La croissance des colonies fongiques, accompagnée de la réaction du tissu qui essaie de se défendre contre l’invasion cause la tumeur. C’est un phénomène simple et uniquement extracellulaire. De ce fait, il y a une seule cause au cancer : le Candida , qui selon la localisation anatomique concernée, provoque différentes réactions histologiques. C’est la raison pour laquelle il y a de si nombreux types de tumeurs.
Pour le moment, le bicarbonate de sodium (en solution à 5% ou à 8,4%) est le seul remède capable de faire disparaître complètement les tumeurs. Pour obtenir le maximum d’effet destructeur, le bicarbonate de sodium doit être amené au contact direct des tissus. Il est possible de le faire en appliquant un cathéter spécial aux artères qui irriguent les différents organes ou en utilisant les méthodes endoscopiques conventionnelles.
Cependant, il y a d’autres possibilités : les infusions de gouttes, les énémas, les irrigations et les infiltrations selon l’endroit où se trouve la néoplasie.
Quand le bicarbonate de sodium est administré de la bonne manière aux patients non terminaux, on peut alors faire disparaître de nombreuses sortes de tumeurs dans un temps bref, ce qui amène souvent un rétablissement complet en deux mois.
De plus, il est nécessaire de souligner avec force que cette substance ne cause aucune douleur et qu’elle est facile à appliquer. Il y a quelques effets secondaires légers dans seulement quelques cas. De nombreux patients tirent bénéfice de la méthode du Dr Simoncini et sont guéris en dépit du fait que l’oncologie classique les ait déclarés incurables.
Pour conclure, il est nécessaire de dire que le livre du Dr Simoncini représente une réelle cassure par rapport à la tradition oncologique reçue, en raison de l’innovation qu’il apporte, c’est-à-dire qu’il indique la cause exacte du cancer. De cette manière, il constitue une alternative simple par rapport à quantité excessive d’études et expérimentations qui n’ont amené aucun résultat définitif.
Introduction:
Les succès enregistrés par la médecine moderne ces cent dernières années sont indubitablement d’une grande importance pour la vie de l’homme, car la médecine a acquis des instruments pour l’aider à naviguer avec efficacité sur le vaste océan de la maladie. L’organisation de la connaissance, la conscience de l’hygiène publique, l’éducation de la santé et l’utilisation abondante des découvertes scientifiques issues d’autres branches de la science comme la chimie, la physique sont d’autres facteurs importants qui ont permis à une borne qualitative de marquer la fin des pratiques médicales obscures du passé.
Le développement incessant de la pharmacologie, l’évolution de la technologie chirurgicale et des instruments de diagnostic sophistiqués sont l’expression d’un monde scientifique en croissance qui a fourni une base solide à l’obtention de résultats qui ont grandement amélioré l’état moyen de la santé de la communauté mondiale.
Un voyageur temporel imaginaire qui viendrait des années 1800 et constaterait le progrès accompli serait certainement frappé positivement par l’état actuel de la santé publique. Malgré ça, ce qui représente un point d’arrivée pour les générations précédentes, ne peut avoir la même valeur pour ceux qui vivent les problématiques médicales présentes.
Autrement dit, le niveau de santé que nous avons atteint - qui n’est ni un acquis, ni quelque chose de stable - a besoin d’une amélioration continuelle vers des niveaux toujours plus grands et plus satisfaisants de bien-être.
Ces niveaux ne peuvent être atteints qu’avec une vigilance incessante et un engagement envers l’élimination des erreurs et des distorsions, la prévention des abus et la conception de nouvelles solutions.
Ces aspects deviennent plus pressants parce que, depuis nombre d’années, nombreux sont ceux qui sentent que la médecine est en perte de vitesse. Elle s’est trop ancrée dans des concepts vieillots et elle est incapable d’en proposer d’innovants sur lesquels construire de nouvelles fondations pour la connaissance médicale.
Il y a un besoin pressant d’une sève nouvelle, donatrice de vie, pour transmettre de la vigueur à une structure théorique asphyxiante dont la philosophie, la recherche et les pratiques ne semblent plus accordées avec notre époque. La société avancée et exigeante dans laquelle nous vivons ne se satisfait plus de cette connaissance issue de la physique et de la chimie qui domine le combat contre les maladies. Le besoin de rechercher et d’introduire des thérapies qui prennent en compte l’intégrité et la permanence de l’être humain est en train d’émerger avec de plus en plus de force dans notre société. Cela doit se réaliser dans une économie de la santé la plus large possible et c’est ce qu’il faut pour faire face aux maladies chroniques et dégénératives qui, aujourd’hui, ne peuvent plus être combattues avec les thérapies actuelles qui sont étroites, limitées et dépassées.
Il y a eu une transition le siècle dernier qui nous a fait passer de la prédominance des pathologies sthéniques, c’est-à-dire qui se produisent dans un corps jeune et en forme à celle des maladies asthéniques qui surviennent chez des patients plus âgés et moins en forme. Les notables conséquences d’ordre scientifique et social que ce changement a amenées n’ont pas imprimé une prise de conscience parallèle dans la médecine, telle qu’elle aurait pu favoriser un élargissement des confins théoriques de la maladie.
Bien au contraire, il y a eu une préférence myope qui nous a portés à ignorer les conséquences d’une manière de percevoir excessivement spécialisée et à courte vue. Une priorité a été donnée aux effets immédiats d’un traitement, en laissant le reste à la chance. Cette attitude démontre une grave et profonde impasse dans le traitement de la maladie, ce que confirme le manque de théories et de perspectives qui nous permettraient de voir une maladie physique d’une nouvelle manière, différente de l’ancienne. Jusqu’ici, il n’y a eu que des diagnostics partiels comprenant des analyses pathologiques sans perspective thérapeutique autre que symptomatologique. Au contraire, c’est l’individu entier qui doit être considéré à la fois dans sa dynamique vitale à partir d’une perspective psychologique et même spirituelle, même si ces aspects ne peuvent pas être mesurés. L’âme et le corps ne sont pas deux domaines séparés et qui ne communiquent pas, mais deux manifestations d’un même être et également responsables de la santé d’un individu.
Comme l’orthodoxie médicale est fermée a priori à ce concept, le besoin d’un profond renouveau induit des penseurs et des docteurs à adopter des positions alternatives et cela de plus en plus fréquemment. C’est démontré par l’augmentation d’écrits et de témoignages qui ne sont pas en phase avec les diktats de la médecine officielle. Cela arrive particulièrement dans le domaine de l’oncologie, où un profond état de confusion et de résignation est très souvent ressenti. C’est dans ce domaine, en fait, que l’échec de la médecine est le plus flagrant, c’est là que l’approche symptomatologique révèle toutes ses limites, c’est là où les théories médicales finissent dans un nombre infini de culs de sac.
La génétique, le cheval de bataille de l’oncologie moderne, est sur le point de rendre l’âme, avec ses explications infinies basées sur des processus enzymatiques et leurs récepteurs. En réalité, elle a déjà échoué - c’est juste que personne ne peut arriver à penser que quelque chose d’autre puisse prendre sa place. La conséquence de l’incapacité de l’establishment oncologique à admettre l’échec de cette ligne de recherche est le gaspillage continuel d’une grande quantité de ressources économiques, scientifiques et humaines.
Quelle route prendre alors ? Où aller chercher les éléments logiques minimaux qui pourraient jeter une lumière sur l’ignorance qui a envahi l’oncologie ? De nombreux penseurs - spécialement des biologistes - pensent qu’en appliquant la théorie darwinienne de l’évolution des êtres vivants, il sera possible de parcourir de nouvelles voies concernant les soi-disant maladies dégénératives comme le cancer, les cardiopathies et les maladies mentales. Selon cette façon de penser, ces maladies ne seraient pas attribuables à des facteurs environnementaux ou génétiques, comme on le croit actuellement, mais à des infections.
De ce fait, la réponse à la question de ce qui cause une maladie dégénérative pourrait se trouver dans une discipline qui, plus qu’une autre, a donné son lustre à la médecine,c’est-à-dire la microbiologie. Il est en fait clair que, à l’exception de la bactériologie, l’état des connaissances dans ce domaine de recherche est encore tout à fait limité, spécialement quand on en vient aux virus, aux sous-virus et aux champignons, dont le pouvoir pathogène, est malheureusement peu connu.
Il est vrai que certains universitaires ont accordé une plus grande attention à ces entités biologiques et, en fait, le concept de coexistence inoffensive attribué à de nombreux parasites du corps a commencé à être remis en question avec une beaucoup plus grande conviction. Cependant, une plus grande détermination est nécessaire dans ce processus de révision de la microbiologie, de sorte que l’étroite connexion entre les micro-organismes et les maladies dégénératives puisse être éclaircie.
Je crois qu’en se concentrant sur juste une seule de ces zones d’ombre - sur la mycologie, le royaume des champignons - il deviendra possible de découvrir les réponses correctes à des questions concernant le problème des tumeurs.
D’autres preuves indiquent que c’est la route à prendre. L’analogie entre le psoriasis - une maladie incurable de la peau, que nombre de praticiens traitent comme un champignon - et les tumeurs, qui sont aussi une maladie incurable de l’organisme, la superposition symptomatologique de la candidose systémique et du cancer et la relation génétique stricte entre les mycètes et les masses néoplasiques le clarifie. Ce sont là des éléments qui nous confirment et soutiennent le point de vue que tous les types de cancer, comme cela se produit dans le monde végétal, sont causés par un champignon.
Une infection fongique - celle de l’espèce Candida - pourrait fournir l’explication de la raison pour laquelle une tumeur se produit et c’est dans cette direction que la recherche devrait aller pour essayer de résoudre le problème du cancer une fois pour toutes.
Dans mon expérience personnelle, la seule substance qui soit efficace contre les néoplasmes diffus est le bicarbonate de sodium. Des années d’administration parentérale - c’est-à-dire l’administration directement dans les tissus par les veines, les artères ou les cavités - ont montré qu’il est possible d’obtenir une régression des masses néoplasiques chez de nombreux patients et parfois de résoudre leur état de maladie jusqu’à arriver à les guérir.
C’est l’objectif de ce livre d’expliquer cette nouvelle et simple approche destinée à combattre une maladie qui est extrêmement dévastatrice et diverse. C’est mon ferme espoir que le rôle fondamental des champignons dans le développement de la maladie néoplasique sera bientôt reconnu, de sorte qu’il sera possible de trouver, avec l’aide de toutes les forces existantes des établissements de santé, des médicaments antimycosiques et des systèmes thérapeutiques qui pourront rapidement éradiquer, sans dommages ni souffrances, une maladie qui commet de tels dégâts dans l’humanité.
Dr Tullio Simoncini
Rome, 12 octobre 2005
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du Dr. T. Simoncini
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